Nouvelles Inscriptions : St. Edwards, Lethbridge

L'automobile est un très bon moyen de transport pour circuler dans cette partie de Lethbridge. Les accès aux autoroutes sont bien situés, et il est très commode d'y trouver un endroit où stationner. Toutefois, il est difficile de se déplacer en transport en commun dans St. Edwards en raison du niveau de service. Cela étant dit, quelques lignes d'autobus desservent cette partie de la ville, et la plupart des résidences sont situées très près d'un arrêt d'autobus. La bicyclette est un bon moyen de sillonner St. Edwards puisque le relief est assez plat, et on y retrouve un nombre appréciable d'infrastructures cyclables. Néanmoins, il n'est pas très fréquent de se déplacer à pied dans cette partie de Lethbridge, même si les résidents peuvent combler la plupart de leurs besoins quotidiens sans avoir besoin de conduire.

Une voiture est habituellement nécessaire pour se rendre à l'épicerie la plus proche. Néanmoins, une pharmacie, où il est possible d'acheter quelques denrées de base, se trouve généralement à deux pas de la majorité des maisons en vente dans cette partie de Lethbridge. Ceux qui aiment sortir pour manger ne pourront compter que sur un choix très limité d'options. Pour ce qui est de l'éducation, il est aisé de se rendre à une garderie ou une école en marchant dans St. Edwards.

Le caractère de St. Edwards est défini par son atmosphère paisible. La majorité des emplacements de cette partie de Lethbridge sont exceptionnellement silencieux, étant donné que la pollution sonore liée à la circulation des véhicules est rarement un problème. Finalement, il est très aisé de se rendre dans un espace vert, puisqu'on en retrouve quelques-uns à proximité.

Environ 45% des habitations sont des maisons individuelles. Le quartier consiste principalement en des logements avec deux chambres à coucher et en des logements avec trois chambres à coucher. Près de 70% des habitations du quartier sont occupées par des propriétaires alors que 30% sont occupées par des locataires. La majorité de la croissance immobilière dans cette partie de la ville s'est déroulée entre 1960 et 1980.