Appartements à Louer : Bassin-de-la-Lièvre, Gatineau

L'automobile est un excellent mode de déplacement pour circuler dans Bassin-de-la-Lièvre. Il n'est généralement pas trop difficile d'y trouver un stationnement, et il est très facile de se rendre à la voie rapide la plus proche, comme par exemple l'Autoroute de l'Outaouais. Toutefois, il est difficile de se déplacer en transport en commun dans le secteur. Cela étant dit, les habitants de cette partie de la ville peuvent compter sur quelques lignes d'autobus, et on peut généralement trouver un arrêt d'autobus à deux pas. La majorité des maisons se trouvent dans des endroits qui sont peu pratiques pour circuler à pied étant donné que les résidents peuvent difficilement combler leurs besoins quotidiens sans avoir à utiliser la voiture. Bassin-de-la-Lièvre est également peu plaisant pour ceux qui circulent à bicyclette puisqu'il y a un certain nombre de pentes pour mettre les cyclistes au défi, et il y a peu d'infrastructures cyclables.

Certains résidents pourront aisément marcher jusqu'à l'épicerie la plus proche, alors que d'autres auront besoin de l'automobile. De plus, on y retrouve peu de cafés et de restaurants. Pour ce qui est de l'éducation, il est plutôt aisé de se rendre à une garderie ou une école primaire en marchant dans le secteur. En revanche, le village urbain n'a pas d'écoles secondaires.

Le niveau sonore est assez bas dans Bassin-de-la-Lièvre, puisque le bruit lié à la circulation automobile est rarement un problème - même si plusieurs coins du secteur sont plus bruyants, comme par exemple autour de l'Autoroute de l'Outaouais ou d'une voie ferrée.

Le marché immobilier de Bassin-de-la-Lièvre est principalement composé de maisons unifamiliales ou de maisons en rangée, un environnement idéal pour les familles. À peu près 30% des propriétés de cette partie de Gatineau ont été bâties entre 1990 et 2000, et la plupart des maisons restantes ont été érigées dans les années 1960 et les années 1980. Cette partie de la ville a surtout des logements avec quatre chambres à coucher et des logements avec trois chambres à coucher à offrir. Près des trois quarts de la population du village urbain possèdent leur demeure tandis que les autres sont locataires.